Avec une pute Ivoirienne, une belle black nue
On dit souvent : chassez le naturel il revient au galop. Moi vous le savez, le naturel, c’est de coucher avec des femmes noires. Après une très longue absence j’ai eu l’occasion de retourner à Abidjan pour le boulot. Enfin la possibilité de renouer avec mes vieilles habitudes : baiser des putes Ivoiriennes.
Heureusement que j’étais accueilli par un collègue de boulot, un expat comme moi, parce que impossible de reconnaître le Abidjan que je connaissais. Pour commencer, j’habitais au km 9 sur la route de Bingerville. Pour aller à la case, il fallait emprunter une route défoncée à travers la brousse. Une route dangereuse sillonnée nuit et jour par les camions de la déchetterie. Maintenant c’est une 4 voies qui s’appelle le boulevard François Mitterrand !! Et il y a des immeubles partout !! Alors je te parle même pas de Treichville et d’une boîte connue de l’époque : La Boule Noire. Fini tout ça et je me demandais où trouver les putes Ivoiriennes ?
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Du coup mon collègue m’emmena dans un bar branché de Bietry ou les serveuses jouaient les putes à l’occasion. A l’époque on les appelait des taos, mais je crois que le terme a disparu. Aujourd’hui, ces belles blacks disent qu’elles font « busy ». Elles peuvent bien faire ce qu’elles veulent, moi j’ai tout de suite repéré Grace, une jolie serveuse qui tranchait avec le look assez courant de la pute Abidjanaise : elle était très fine de corps, des petits seins fermes. Ça change des gros culs et des poitrines généreuses de ces dames !!
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Comme nos besoins convergeaient, elle de l’argent et moi du cul, à la fin de son service on s’est retrouvé à mon hôtel à Marcory. Après la douche de rigueur j’ai pu admirer sa plastique superbe. Rapidement car Grace s’est tout de suite emparée de ma queue. Faut dire que je bandais déjà comme un zébu, mais quand j’ai senti la fraicheur de sa langue sur mon gland, c’était encore pire. La garce savait s’y prendre. Difficile résister quand elle s’est mise à me lécher les boules et la raie du cul en remontant le long de ma queue. Elle s’est alors mise en 69 et j’ai pu profiter de sa chatte toute rose. Je lui gamahuché la moule, enfonçant ma langue dans son trou du cul pendant qu’elle me suçait. Quelle me dévorait la bite devrais-je dire !! Elle a joui en serrant ma tête entre ses cuisses en libérant en long jet de cyprine. J’en profitais pour jouir dans la bouche.
La nuit a été longue et j’ai pu constater que les putes ivoiriennes n’avaient perdu de leur verve légendaire !!